Les signes d'un changement massif de paradigme concernant le changement climatique se multiplient. L'évolution se fait en trois temps : le lobbying des scientifiques qui influencent, malgré l'inertie, les opinions publiques mondiales, les investissements massifs dans les nouvelles technologies "propres", et, loin derrière, les politiques qui suivent le mouvement.
Les scientifiques du GIEC ont réussi, d'après Le Monde, la plus belle opération de lobbying [scientifique] depuis la réalisation de la bombe atomique par les Etats-Unis durant la deuxième guerre mondiale. Petit à petit, le message passe, et les citoyens commencent à s'inquiéter du réchauffement climatique. Or, les citoyens ne demandent jamais aussi fortement le changement que quand ils l'expriment en tant que consommateurs. S'ils veulent consommer autrement, il se trouvera toujours des investisseurs pour exploiter le filon.
Et justement, les nouvelles technologies "vertes" sont la mine d'or de l'avenir. Comme je l'ai deja dit, à partir des problèmes écologiques, si la recherche et l'innovation sont encouragées, si l'environnement économique est propice, il est possible de faire avancer la science, de faire de l'argent, et de créer des emplois.
Ce genre d'environnement existe en Californie, par exemple. On voit maintenant les investisseurs pousser le gouvernement américain à infléchir sa politique énergétique. Ils n'ont pas encore le poids d'Exxon, bien sûr, mais leur image est bien meilleure, ce qui peut faire réfléchir en période électorale.
La recette pour sauver le monde ? C'est peut-être de mélanger lobbying scientifique, recherche, innovation, et esprit d'entreprise.
Et justement, les nouvelles technologies "vertes" sont la mine d'or de l'avenir. Comme je l'ai deja dit, à partir des problèmes écologiques, si la recherche et l'innovation sont encouragées, si l'environnement économique est propice, il est possible de faire avancer la science, de faire de l'argent, et de créer des emplois.
Ce genre d'environnement existe en Californie, par exemple. On voit maintenant les investisseurs pousser le gouvernement américain à infléchir sa politique énergétique. Ils n'ont pas encore le poids d'Exxon, bien sûr, mais leur image est bien meilleure, ce qui peut faire réfléchir en période électorale.
La recette pour sauver le monde ? C'est peut-être de mélanger lobbying scientifique, recherche, innovation, et esprit d'entreprise.
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