On en reparlera peut-être dans quelques années.
les chimistes spécialistes de l'électrocatalyse rêvent de changer le dioxyde de carbone (CO2) en hydrocarbures. Le principal fauteur de réchauffement climatique - relâché en quantité dans l'atmosphère par les industries et les transports - serait alors autant de carburant potentiel...
Ce rêve est porté par un programme de recherche européen, Elcat (Electrocatalytic Gas-Phase Conversion of CO2 in Confined Catalysts), dont l'objectif est de maîtriser cette réaction convoitée de "réduction" du gaz carbonique - et ce avec un très faible apport énergétique.[..]
"Le but ultime de ce travail est en quelque sorte de concevoir une cellule fonctionnant sur le même principe que la photosynthèse, c'est-à-dire capable d'utiliser l'énergie solaire et de l'eau pour transformer du dioxyde de carbone en produits utiles entrant dans la composition de nos carburants actuels", explique Gauthier Winé, chercheur au sein du groupe Carbures et nanostructures du Laboratoire des matériaux, surfaces et procédés pour la catalyse (LMSPC) de Strasbourg, associé au projet.
Sur le site du Monde
les chimistes spécialistes de l'électrocatalyse rêvent de changer le dioxyde de carbone (CO2) en hydrocarbures. Le principal fauteur de réchauffement climatique - relâché en quantité dans l'atmosphère par les industries et les transports - serait alors autant de carburant potentiel...
Ce rêve est porté par un programme de recherche européen, Elcat (Electrocatalytic Gas-Phase Conversion of CO2 in Confined Catalysts), dont l'objectif est de maîtriser cette réaction convoitée de "réduction" du gaz carbonique - et ce avec un très faible apport énergétique.[..]
"Le but ultime de ce travail est en quelque sorte de concevoir une cellule fonctionnant sur le même principe que la photosynthèse, c'est-à-dire capable d'utiliser l'énergie solaire et de l'eau pour transformer du dioxyde de carbone en produits utiles entrant dans la composition de nos carburants actuels", explique Gauthier Winé, chercheur au sein du groupe Carbures et nanostructures du Laboratoire des matériaux, surfaces et procédés pour la catalyse (LMSPC) de Strasbourg, associé au projet.
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